Visite de Courtoisie

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

Le Grincheuxne s'était pas vraiment amadoué. En tout cas sa voix portait comme jamais. Débarrassé de son ventre postiche, ayant même quelque peu maigri, les traits tirés, l'oeil brillant de rogne mauvaise, il repousse avec force le laquais venu s'enquérir de sa visite, le trucide d'un regard de fou furieux, et cherche du regard la personne qui lui a fait parcourir a fond de train cette épuisante distance.

Evidemment, il ne la trouve pas dans le Hall d'entrée. Machinalement et un peu stupidement, il fait le tour de la pièce, regarde derrière les tentures et tapisseries richement colorées, le laquais toujours sur ses talons bien que méfiant.
Toujours bredouille, il tient le laquais importun à bonne distance de son interminable bras, se plante au beau milieu de la pièce et beugle de sa voix de prêteur romain:

ALTESSE! C'EST UNE TRES MAUVAISE IDEE!

A l'étage supérieure, la Princesse réglait de la paperasse. Ou plutôt lisait un traité d'art militaire tandisqu'Alphonse s'occupait des comptes et l'informait quand une difficulté survenait et qu'elle devait prendre une décision.
Le bruit du vent dans les arbres fruitiers du domaine, le gazouillis de spetits oiseaux, les chants des paysans qui étaient loin d'être malheureux à Bellac, le bruit de la plume d'Al....le beuglement effaré du troufion qui lui sert de portier.
Abandonnant son traité dans son fauteuil, elle fit signe à Alphonse qu'elle s'en occupait et s'immobilisa en haut des escaliers, ouvrant de grands yeux devant le Comte qui fouillait avec minutie son entrée. Se gattant le bout du nez, elle sursauta à son cri bestiale et répondit sur le même ton:

VOUS VOULEZ PARLER DU FAIT QUE JE NE SOIS PAS CACHEE DERRIERE UNE DE MES TENTURES?

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

Grincheux sursaute. La voix mélodieuse de son hôtesse a fendu le verre en cristal de bohême qui trône sur le guéridon. Altesse semble aller avec décibel, chose qu'il croyait mieux associée avec Sergent ou l'Armée en général.
Une réponse, et spirituelle de preference.Manque de chance, son regard s'est involontairement porté vers l'origine du déferlement de vocalises haut perchées. Et l'Altesse sitôt dans son champ de vision, c'est le coton ou le mou de veau entre les oreilles. Rien, Nada, Peau de balle.....
Quand en plus elle se met à gratouiller son bout de nez, on a l'impression d'entendre des grelots tinter et c'est comme si elle jetait un sort.

Heureusement, Le Vieux a la Grinchitude comme protection! Il faudrait plus que ce subterfuge pourtant habile et si féminin pour fléchir la muraille de sa grognonnerie naturelle. Surtout qu'il a en plus les rognons en compote de sa longue chevauchée.

Il laisse donc retomber la tapisserie et pose les poings sur les hanches, inspire fortement

NON, JE VEUX PARLER DES TROUBLES QUE VOTRE DECISION POURRAIT CREER! RAPPELEZ VOUS HELENE DE TROIE!
Le verre de cristal vola en eclat
Est ce qu'on continue de hurler? Je crains pour ce lustre si vous répondez.

Le sourire est un rien mutin, la moue experte en bouderie moqueuse, les yeux rieurs. Lui laissant le temps de reprendre ses esprits, elle descends les escaliers, relevant son -unique pr une fois- jupon de soie carmin. Et va se planter devant le Comte. Mains sur les hanches à son tour.
Le visage se veut grave, mais les yeux d'azur sont joyeux. Jusqu'à ce qu'ils lui perforent les tympans. Grimacant, elle plaque ses mains sur ses oreilles. Avant de se les frotter d'un air désésperé.
Ses yeux foudroient le Comte. Et s'il ne l'avait rendu momentané sourde, nul doute qu'elle n'aurait pas beuglé sur le même ton. Mais il faut rendre à César ce qui appartient à César. Aussi se met-elle à son tour à beugler et tant pis pour chandelier, lustre, et autre verroterie...

JE VOIS PAS CE QU'HELENE DE TROIE VIENS FOUTRE LA DEDANS? MA DECISION NE REGARDE QUE MOI ET JE N'AI PAS POUR AMBITION DE CREER UN CONFLIT MONDIAL MEME SI MA BEAUTE LE MERITERAIT.

Sourire à se damner, petite fosette en quoi. Et signe de la main au portier de mettre à l'abri tout ce qui peut l'être.

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

La forme duveteuse qui se plante devant lui ne lui arrive pas au menton. Pourtant, le petit bout d'Altesse en imposait, inutile de le nier. Mains sur les hanches, puis sur les oreilles, yeux perçants et limpides comme un lac de montagne, nez perpétuellement en mouvement ce qui ne laissait pas de faire sourire le Comte. De Maussade, l'humeur du Vieux passe à "amusée". Le sourire revient tirer sur ses lèvres et les rides de contrariété vont se cacher pour laisser place à celles du rire, aux coins des yeux.

Elle est à quelques pouces de lui. Vous allez voir qu'elle va le poignarder de son index juste au creux du plexus, là où ça fait soit mal, soit un terrible chatouillis, selon la dose. D'instinct il bloque sa respiration mais l'index reste sagement avec ses compagnons, roulé en boule en petit poing teigneux sur les oreilles.
Ils sont à quelques pouces et le lustre descend doucettement pour mettre les trésors de Venise à l'abri.
Ils sont à quelques pouces et le COmte se dit que la Princière coiffure va en prendre un coup.

MAIS MA PAUVRE PETITE, CE NE SONT PAS VOS TRAITS -FORT DELICATS AU DEMEURANT- QUI VONT CREER PLUS GRAND BAZAR QUE LES INVASIONS BARBARES! C'EST VOTRE INSUPPORTABLE CARACTERE, QUI VA FAIRE SI CRUELLEMENT DEFAUT QUE NULLE PROVINCE SERA ASSEZ RECULEE POUR VOUS CACHER!
POUR LE BIEN DU ROYAUME, RENONCEZ, C'EST VOTRE DEVOIR D'EPARGNE DES VIES INNOMBRABLES!
ET SI NOUS PASSIONS AU SALON, D'ABORD?

Vieux cahot du palpitant qui s'emballe, râclement de gorge pour masquer un gloussement de rire irrépréssible et légère angoisse à l'idée des longues décoctions à base de miel qu'il faudra ingurgiter pour réparer les dégêts d'une entrevue sonore avec l'Altesse princière.

On lui a souvent demandé comment on si petit corps pouvait contenir tant d'énergie. Souvent, elle s'est posé la question. Pourquoi n'était-elle pas comme toutes ses femmes. Calme, tranquille, assise au coin du feu à faire du macramé. Elevé en homme, elle se demandait souvent si sa défunte mère se retournait dans sa tête...
Dans ses rêves, elle était une petite Princesse de contes de fées. Dans la vraie vie, elle était pire que tout. Et alors que perdu à ses pensées, elle foudroie du regard le Coms, elle se fait rafaler par un souffle incongru qui la fait reculer d'un pas.
Ah il veut jouer à qui beugle le plus fort. Bin, il est pas près de gagner. Se retournant, elle va chercher une chaise, relève son jupon jusqu'à mi-cuisse et grimpe dessus, dépassant enfin le Comte d'au moins un pouce. Quand on est petit, il faut avoir de la ressource.
Son index est pointé entre les deux yeux du Comte et elle se met à beugler à son tour.

SI MON INSSUPPORTABLE CARACTERE POSE AUTANT DE PROBLEME VOUS DEVRIEZ ETRE RAVI QUE JE M'EN AILLE LOIN. ET SI LA PROVENCE EST ENCORE TROP PRES JE PEUX TRES BIEN ALLER EPOUSER UN HERITIER HONGROIS.
ET JE NE VOIS PAS POURQUOI NOUS PASSERIONS AU SALON PUISQUE VOUS N'ALLEZ PAS VOUS ETERNISER!

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

Le revoilà cet index blanc et lisse comme un poignard d'ivoire. Il s'agite pile entre les yeux du Vieux et provoque un chassé croisé de ses pupilles et un sérieux début de mal de crâne. Pire! Ce n'est plus une mais deux mini Altesses qui s'agitent en vitupérant sur leurs chaises respectives, adorables ballerines dont le rouge des joues commence à rivaliser avec celui du jupon.

Le gloussement de rire agonise en grondement sourd d 'ours qui se réveille. Au passage, coup d'oeil admiratif -entre deux battements d'index- pour les merveilleux poumons de la Princesse qui semblent brasser un volume que ne laissent qu'imparfaitement deviner les petits fruits appétissants qui logent en corbeille sous son cou d'albâtre.

Pour le coup, c'est lui qui en perdrait le souffle!

Reprenant contenance

- MAIS BON SANG JE M'EVERTUE A VOUS DIRE QUE JE NE VEUX PAS QUE VOUS VOUS ELOIGNEZ! C'EST PAS POUR VOUS ENVOYER EN HONGRIE! EN PLUS JE SUIS DUR DE LA FEUILLE ALORS COMMENT VOULEZ VOUS QUE JE VOUS ENTENDE SI VOUS VOUS EXPATRIEZ A L'AUTRE BOUT DU MONDE? POURQUOI PAS EN CHINE PENDANT QUE VOUS Y ETES?
MAIS PUISQUE MA PRESENCE SEMBLE VOUS IMPORTUNER, MARIEZ VOUS, QUE CE SOIT AVEC LE GRAND TURC OU LE GRAF DE SILESIE JE NE VOIS PAS DE DIFFERENCE PUISQUE VOUS NE M'AIMEZ POINT!

Etonnant comme des phrases douces peuvent sonner etrangement sitôt qu'on les hurle comme un forcené. La tirade achevée, il ne reste plus qu'un petit gout amer, adouci par le charme certain de la conversation courtoise qui rappelle le Carillon de Notre Dame un jour de Pâques.... douce musique, quoiqu'un peu forte...

Le doigt s'éloigne de l'entre-deux-yeux du Coms et les poings se reposent sur les hanches. Mal de gorge qui commence à poindre. Elle a perdu l'habitude de hurler comme ça. Mais ses yeux jettent des éclairs dangereux. Sa poitrine se soulève à un rythme qu'elle n'attends en général que rarement, à moins d'être bien accompagné et ça aussi c'est dangereux. Et les cheveux commencent à s'échapper du chignon... ça c'est pas forcément dangereux en revanche.

AH BAH VOUS AVEZ UNE DROLE DE FACON DE ME DIRE QUE VOUS TENEZ A MOI EN TOUT CAS. SI C'EST CA POUR VOUS UNE DECLARATION D'AMOUR C'EST RATE! ET PUIS SI JE PARS ME MARIER AVEC LE GRAND TURC JE ME CONTENTERAIS DE VOUS ENVOYEZ DES LETTRES, JE NE VAIS PAS M'EGOSILLER POUR LE PLAISIR DE M'EGOSILLER, QUI PLUS EST POUR UN VIEUX COMTE LIBIDINEUX!

La douceur de la Princesse est elle aussi réputée. On ne dirait pas hein? Et après avoir foudroyé le Comte une dernière fois, elle saute de la chaise, manque de se manger le lustre qui est en train de descendre avec moultes précautions et s'apprêt eà retourner à son traité d'art militaire.

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

Les mots tombent comme autant de couperet ou de lames de hache. Raccourcissant peu à peu les projets matrimoniaux plus ou moins fumeux, le Vieux Saincte Merveille se prépare à affronter la vision troublante, mais néanmoins attristante du dos princier et de ses ondulations chavirantes.

- JE NE SUIS PAS LIBIDINEUX! JE......

Le gosier grinça horriblement et la voix se brise net. De toute façon, ça lui épargne de regretter ce qu'il se proposait de dire. Autant garder cela part travers lui, n'ayant visiblement pas réussi à gagner l'oreille altière.
Pas faute d'avoir essayé bordel!

- ... !

Il tourne les talons, laissant ceux de la Princesse à leur propre cheminement, et gagne l'entrée de ses habituelles enjambées démesurées.

Temps mort. Arrêt sur la première marche de l'escalier. Un lustre de Venisien les sépare. Quelques gouttelettes de verres. Arrêt sur image. Plan fixe. D'une part une princesse vetue comme un sac à patate qui tourne le dos. D'autre part, un Comte vetu princièrement qui tourne le dos aussi. Dos à dos... Lustre sépérateur.
Sourire. Elle pivote sur les talons. Fixe le dos du Comte qui s'éloigne. Attrappe un bibelot qui se revèle être de bronze massif et qui pèse son poids le bougre. Le lève haut, haut, haut, au-dessus de sa tête, et le jette dans le lustre qui explose en une myriade d'éclats lumineux et dans un bruit du diable. Là c'est sûr le lustre est foutu.
Et pour clore le tout, la Princesse éclate d'un rire léger, comme si son entrée n'était pas purement et simplement dévastée.
Elle rit, s'assoit sur les marches et continue de rire en se tenant les côtes, véritablement pliée en deux. Elle rit, d'un rire nerveux qui veut tout dire et pourtant ne revèle rien.
Elle attends peut-être...

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

L'explosion d'un lustre en cristal de Venise est un évènement peu fréquent, qu'il convient de ne pas rater quand on en a l'occasion; mais légèrement dangereux et il vaut mieux le rater que se trouver dessous.

Voilà en gros ce qui venait de traverser l'esprit du Comte quand le vacarme le figea sur le pas de la grand'porte. La cascade cristalline se déverse alors qu'il se retourne, scintillant de mille feux dans les rais du soleil, transformant le sol en merveilleuse plage de pierreries aux pieds d'une Altesse riant aux larmes.

Spectacle saisissant, unique, à jamais fixé dans sa mémoire.

Un éclat frappe son oeilm qui a toujours été perçant, sur Ann pourtant dénuée de bijou.
Un second scintillement, au sol celui là.
Après un instant d'hésitation, Saincte Merveille marche lentement vers la Princesse dont les hoquets de rire se calment et se muent en respirations haletantes. Au beau milieu de cette plage de conte de fée, alors que chaque pas crisse, il s'arrête et saisit une perle ronde et limpide. Puis reprend sa progression lente vers l'escalier d'où elle le fixe de son regard intense.

Au pied des marches, aux pieds de son hôtesse, il s'agenouille, fixant cet éclat fugace qu'il perçut sur le visage lisse de la Princesse. Lentement sa main s'élève et vient effleurer sa peau, écrasant une larme au coin de ses yeux azur. Larme de rire assurément, mais pourquoi celle-ci le jetterait elle aux pieds de cette femme imprévisible?
De son autre main, il fait rouler entre le pouce et l'index la perle. La main du Comte prend la main de la Princesse, la porte à ses lèvres, puis blottit son visage dans sa paume fraiche, l'embrassant tendrement.
N'osant prolonger ce contact qui le met à portée de déboires douloureux, il place la larme de cristal dans la paume de la Belle, en échange de celle volée sur sa joue, referme les doigts fuselés sur elle et recouvre la petite menotte blanche de sa patte.

Il ouvre la bouche, quoiqu'il ait voulu dire, rien ne franchit ses lèvres. Grimace. il pose le front contre le sien, serre convulsivementsa main, se lève gauchement et repart vers son palefrois, laissant derrière lui une larme éternelle au creux de sa main, emportant une larme fugace dans son coeur.

Comme dans un songe. Elle voit le lustre éclater. Ou plutôt revoit les images. Le verre de Venise vaut une petite fortune. Le lustre doit au bas mot bien lui avoir couté 3000 écus. Une des rares folies qu'elle s'était autorisée. Mais elle avait été séduite par la qualité du savoir-faire des maîtres-verriers. Et tout ça avec la bouche.
Pourtant, elle ne regrettait pas l'explosion. Son entrée, si sombre, de par ses pierres de taille et ses lourdes tentures devient soudain lumineuse à éblouir. Le verre accroche et renvoit la lumière partout, lumière du jour et fragile lueur des chandelles. Des tâches de lumière brillent partout, mouvantes sur les visage, les corps, les objets, les murs...
Son pauvre portier a l'air si hagard que la Princesse rit de plus belle... mais elle a réussi à stopper le Comte dans sa fuite, car c'est bien une fuite, elle en est sûre et certaine!
S'arretant de rire, elle regarde le Coms s'agenouiller face à elle et hausse un sourcil... "Mais il va se blesser à genoux sur tout ce verre...", suivi d'un... "Il n'oserait tout de même pas me demander ma main!"...
Elle le regarde avec au fond de syeux un lueur d'interrogation énigmatique. La main vient rejoindre sa joue. Ecrase la larme qui perle au coin de ses paupières.
Larme d'eau contre larme de verre. Elle sourit. Doucement. Sans rien ajouter. Et garde au creux de sa paume la larme miraculeusement intacte. Sans un mot, elle le regarde se lever. Partir. Rien de plus. Ce serait gâcher la magie de l'instant.
Se relevant, elle grimpe les escaliers tandisque derrière elle le troufion spectateur de la scène se demande s'il doit faire nettoyer... et se contente de ramasser le bronze.

Alors Alphonse... où en étions-nous?

Elle se calle à nouveau dans le fauteuil, les jambes repliées sur le côté et sourit au vieillard qui la regarde avec un sourire malicieux par dessus ses binocles. Et tandisqui lui explique que les finances se portant bien mieux depuis son retour, elle opine du chef sans réellement écouter et fixe la perle qu'elle tient dans la lumière ...

Invité Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 17/08/2007

[Quelques jours plus tard]

L'étalon noir du comte n'était ni docile ni monté par un cavalier hors pair. Ce qui donnait bien du mal au maître qui menait la bête avec rudesse. Les abords de Bellac se profilant enfin, il fit faire une courte halte à son destrier, remettant une nouvelle fois en question la lettre qu'il serrait sur sa poitrine.
Eperonnant sa monture rétive, il partit tout de même au galop vers la demeure Bellacienne.
Serrant la bride à l'entrée face à un archer un poil nerveux de barrer le chemin à un Comte en armes et visiblement peu disposé aux amabilités, le Vieux jeta un coup d'oeil aux oriflames. Les armes Princières étaienthautes. Son Altesse Pestouille Première etait bien céans!

Porte ce ci à ta Maîtresse. Ne la laisse pas le déchirer, je brûler ou le manger. Sinon je viendrai t'expliquer pourquoi on m'a appelé Père Pilori.

Se doutant bien que le malheureux n'y pourrait mais si Ann de Bellac en décidait ainsi, il prit un malin plaisir à le voir prendre le rouleauscellé, la mine du condamné et le chemin des appartements Princiers.

Fit volte face et piqua des deux vers Gueret pour rejoindre l'Ost.

» Seconde visite, probablement moins courtoise